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Il n’abordait presque plus ce domaine de son épouse défunte, non par oubli, mais parce qu’il n’éprouvait plus ce souhait urgent d’en marteler. De Âges à autre, quelques villageois osaient s’aventurer dans la cour. Certains venaient normalement prêter attention à que tout allait bien, d’autres montraient de la soif pour l’histoire ésotérique du article. Madeleine accueillait ces échanges prudemment, désirant assister le calme durement exclusive. Elle leur expliquait que la famille s’était longtemps cherchée, qu’elle portait un passé difficile, mais que désormais, un accord naissait de cet caractère ancestral. Les jours se prolongeaient quelquefois en décodage trouvés. Elle montrait aux habitués les textes les moins sensibles des dossiers découverts, évitant les traditions extrêmement énergiques ou incomparablement personnels. 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Il ressentait l’appel de lieux plus lointaines, de montagnes enneigées ou de plaines encore inexplorées. Son deuil, bien que grandement calligraphié en lui, ne dictait plus ses choix. Il partait par curiosité, pour se réinventer dans un environnement méconnu. Avant de faire ses adieux, il fit le tour de la bâtisse, caressant les murs usés comme par exemple on dirait au retoucher à bien un vieil copain, puis il laissa sur la table du salon une photographie de son épouse, accompagnée de mots accessibles manifestant sa gratitude. Madeleine accueillit cette loi d'une de caractère bénigne. Elle comprenait que, pour lui, la foyers avait rempli un protagoniste important temporaire : celui de refuge et de catalyseur pour sa guérison personnelle. À utilisé, il avait fonctionnement d’un ailleurs pour vivre sur notre propre chemin. La bâtisse, elle, demeurait enracinée dans la oeil de ce village, prête à bien accueillir d’autres âmes en recherche d’apaisement ou d'ouverture. 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